10 juillet 2006
Du haut de sa dune
Un chèche enveloppant son chef
Assis, les pieds posés sur le coin du bureau
Je ne pouvais pas l’appelé Cow-boy
Aussi l’ai-je baptisé Cow-sahib le beau !
Avec un cœur gros comme ça, sensible
Espérant une nouvelle vision de l’homme et du monde
Aimant avec philosophie l’Inaccessible
Rêvant du haut de sa dune des couleurs changeantes des ondes…
Bercé par le chant d’Éole qui caresse le sable
Le regard fixé vers l’Incommensurable…
Comment ne pas avoir envie, à deux, de devenir Unité.
NH
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